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l’épargne des ménages et amélioration de condition socio-économique de la ville de Lubumbashi

Par RACHEL FUNDI • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueEconomie • Mémoire • 2021-12-17 • 461 vue(s)

Cette étude porte sur l’épargne des ménages et amélioration de condition socio-économique de la ville de Lubumbashi. Pour entreprendre cette étude, nous sommes partis de l’observation selon laquelle certaines ménages n’épargnent pas suffisamment durant leur période de vie active et ne préparent pas adéquatement leur vie en luttant contre la mauvaise condition de vie socio-économique de la population de la ville de Lubumbashi pourtant l’épargne constitue la sécurisation de la situation financière d’un individu, d’un ménage ou d’une entreprise. Les ménages terminent les études, il se retrouve dans le chômage, ils n’ont pas quoi pourtant l’épargne est un investissement qui peut permettre aux ménages d’entreprendre une activité qui contribue efficacement dans la réduction de la pauvreté de la population. Après avoir parcouru la revue de littérature en cherchant les différentes études théoriques et empirique notre question de recherche été formuler en ces termes : Quels sont les facteurs qui expliquent le faible niveau de l’épargne des ménages lushois ? l’hypothèses retenues était que En guise des réponses provisoires à notre question de recherche, nous retenons ce qui suit : l’épargne joue un grand rôle dans la lutte contre la pauvreté, les facteurs qui ne permettent pas aux ménages d’épargner seraient d’ordre contextuels et contingent c’est-à-dire ces facteurs seraient endogènes et exogènes, il s’agit de le manque d’une activité, le faible revenu permanent dans beaucoup des ménages : les ménages qui ont des revenus plus élevés ont plus tendance à épargner que les autres car ils peuvent subvenir plus facilement à leur besoin courant, le manque de culture d’épargne pour beaucoup de ménages : l’épargne de ménage à des avantages dans la lutte contre la pauvreté, l’insolvabilité des certaines travailleurs c’est-à-dire certaines ont l’esprit de banque Lambert qui ne les permettent pas d’épargner et le niveau d’instruction des certains ménages et leur condition de vie socio-économique de la population de la ville de Lubumbashi seraient inacceptable. Pour atteindre notre objectif, nous avons recouru à l’approche qualitative avec les entretiens semis directifs et la recherche documentaire, l’analyse de contenu thématique et l’analyse statistique nous a aidé à analyser les données. Les Résultats montre que les facteurs qui ne permettent aux ménages de la ville de Lubumbashi d’épargner pour lutter contre la pauvreté ne résulte pas uniquement d’un défauts d’allocation des facteurs de production mais de l’inefficience du gouvernement provinciale du Haut-Katanga qui ne permettent pas de lutter contre les chômages des menages de cette ville. Les résultats définitifs montrent que les facteurs qui poussent aux ménages de ne pas épargner pour améliorer leur condition socio-économique sont d’ordre personnels, économiques et contextuels il s’agit de : • Les facteurs contextuels (l’augmentation de taux de naissance, la démographie et la globalisation) à 21 %, • Les facteurs économiques (l’inégalité sociale, le manque de croissance économique) ont 27% • Et les facteurs personnels (le chômage, le faible revenu moyen, le faible niveau d’instruction, le manque de culture d’épargne) influencent à 52 % le manque d’épargne et la pauvreté Ces Résultats confirment nos Hypothèses. Néanmoins nous présentons les limites qui ouvrent les perspectives de recherche futures du point de vue méthodologique, du point de vue théorique et du point de vue d’analyse.


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