LA GESTION DES IMMOBILISATION ET AUTOFINANCEMENCEMENT D’UNE BANQUE CAS DE LA RAWBANK

La gestion financière constitue un ensemble de méthodes d’analyses et d’outils opératoires qui permettent aux entreprises et aux autres organisations de s’assurer une insertion efficace dans l’environnement financier. Certains opérateurs, particuliers, entreprises ou institutions diverses, managent un équilibre rigoureux entre leurs ressources et leurs dépenses, immédiates et à venir. Ils couvrent leurs besoins de financement grâce à leurs ressources d’autofinancement et se trouvent autonomes à l’égard de financement externes. Certains agents prévoient des ressources qui dépassent leurs intentions de dépenses. Ils disposent donc d’un excédent de ressources qui pourrait rester inutilisé sauf si son détenteur trouve un moyen pour le mettre à la disposition d’autres agents susceptibles de lui trouver un emploi. Ces agents disposent d’une capacité de financement, c’est-à-dire des ressources qui pourraient être avancées à des tiers. Dans un monde en quête de compétitivité, d’amélioration et de croissance ; l’entreprise s’avère être le moteur impulsif de l’enrichissement tant individuel que collectif. L’exploitation de son objectif social génère des besoins, qui se doivent d’être comblés pour la bonne continuité de ses activités. Qui plus est, lorsque la firme évolue dans un secteur, dynamique et compétitif. Pour pouvoir financer son cycle d’exploitation l’entreprise recourt soit à un financement externe (emprunts auprès des institutions financières, marchés boursiers, partenaires divers, etc….) soit à un financement interne (dégagé par les opérations enregistrées en produits et charges au cours d’une période et qui reste à la disposition de l’entreprise après encaissement des produits ou décaissement des charges concernées. Ce travail a pour but d’étudier la gestion des immobilisations et son impact sur l’autofinancement de la banque (Rawbank) A l’issu d’une consultation des rapports annuels de la Rawbank sur la période allant de 2016 à 2019, nous avons observé un rythme croissant des plus-values sur cession d’actifs immobilisés par contre la capacité d’autofinancement suit un rythme décroissant. Le tableau ci-dessus démontre cela.

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