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la mobilisation des taxes et la maximisation des recettes douanières. Cas de la DGDA/Katanga.

Par KABEYA MAYAMBA JOHN • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueEconomie • TFC • 2021-12-21 • 412 vue(s)

CONCLUSION GENERALE Nous voici au terme de notre travail scientifique qui porte sur la mobilisation des taxes et la maximisation des recettes douanières. Cas de la DGDA/Katanga. C’est pour des raisons pragmatiques ou empiriques que notre choix était porté sur la DGDA/Katanga comme notre champ d’investigation. Après avoir parcouru la revue de littérature en cherchant les différentes études théoriques et empirique notre question de recherche été formuler en ces termes : Quels sont les facteurs qui expliquent l’inefficacité des recettes de la taxe douanière a la DGDA/Katanga ? L’hypothèse retenue était que Les facteurs qui expliquent l’inefficacité des recettes de la taxe douanière a la DGDA/Katanga seraient d’ordre contextuel et contingent c’est à dire ces facteurs sont endogènes et exogènes il s’agit de: le manque de répertoire fiable, le manque des méthodes de contrôle efficaces, le non information de l’incidence qu’à la fraude douanière dans la maximisation des recettes de l’Etat, le faible salaire, l’égoïsme de la part des agents de fiscalité et l’incivisme fiscal, la décision politique qui juxtaposées à la décision de gestion des toutes régies financières et les phénomènes intouchables, et la pauvreté des contribuables L’analyse de contenue et le diagramme d’ISHIKAWA nous ont aidé à analyser les données. Les résultats de cette étude montrent que les facteurs qui expliquent l’inefficacité des recettes de la taxe douanière a la DGDA/Katanga ne résultent pas uniquement d’un défaut d’allocation de facteurs de production mais de l’efficacité selon la théorie développée par Leibenstin ; 1978. Les facteurs qui expliquent l’inefficacité des recettes de la taxe douanière figurent principalement : l’incivisme fiscal 22%, suivi du phénomène intouchable 16%, la décision politique 13%, le faible salaire 13%, le manque de méthode de contrôle efficace 10%, l’esprit de fraude et de l’évasion fiscale 10%, le manque de répertoire fiable 16% Ces Résultats confirment les Hypothèses. Néanmoins cette étude présente quelques limites qui ouvrent les perspectives dans le futur : - Du point de vue méthodologique, cette étude se limite à l’approche quantitative et l’approche qualitative avec les entretiens semi directifs et la recherche documentaire. Nous pensons que d’autres recherches plus approfondies peuvent enrichir nos résultats en faisant les études longitudinales. - Du point de vue théorique, cette étude s’est inspirée à la théorie contextualiste et la théorie de contingence, elle peut être complétée par la théorie de jeu d’acteur pour comprendre les interactions entre les différentes parties prenantes. - Du point de vue de l’analyse, cette étude a utilisé l’analyse de contenue, le logiciel TROPES et le diagramme d’ISHIKAWA et d’autres chercheurs peuvent l’enrichir en utilisant la chaîne de valeur portée pour la meilleure gestion des taxes pour maximiser les recettes de l’Etat. En effet, nous présentons les perspectives de recherches futures de la manière ci-après : • Pourquoi la DGDA/Haut-Katanga ne maximise les recettes des taxes ? • Quels sont les facteurs qui expliquent la faiblesse de la gestion des taxes dans la maximisation des recettes fiscales à la DGDA/Haut-Katanga ? • Comment se comporte les opérateurs économiques de la ville de Lubumbashi face au payement de la taxe à la DGDA/Haut-Katanga ?


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