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la politique étrangère de la France au Proche-Orient sous la présidence de Macron

Par Memoire • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueSociologie et Anthropologie • Mémoire • 2021-12-21 • 195 vue(s)

Nous voici arrivé au terme de ce travail qui porte sur « la politique étrangère de la France au Proche-Orient sous la présidence de Macron». Notre problématique portait sur quels sont les enjeux qui dictent la politique étrangère française au Proche-Orient sous Macon ? Pour cette question, nos hypothèses se résument en ce terme : L’agenda international de la France au Proche-Orient sous Emmanuel Macron serait dicté par les enjeux stratégiques, culturels, économiques et diplomatiques. Enfin, nous estimons que si la France qui entretient le deuxième réseau diplomatique au monde, une présence militaire importante à l’extérieur de ses frontières, et qui participe à une part importante du financement des organisations internationales ne parvient pas à s’imposer en tant qu’une puissance ayant un plan de résolution des crises chroniques au Proche-Orient, les facteurs explicatifs seraient notamment la géopolitique française, qui de l’Égypte à l’Iran, est plus incertaine qu’il n’y paraît, et ne peut échapper au leadership des États-Unis, sur lesquels Paris est largement aligné. L’imprécision dans la politique étrangère française l’empêcherait donc d’être une puissance de référence et une puissance structurante de la région. Cela implique des positions à prendre, des relations à entretenir ou à revenir. Ce qui renvoie à un cadre d’ensemble plutôt qu’à une politique réactive, à un outil diplomatique adapté à l’exercice de l’influence dans le monde d’aujourd’hui, et sans doute à une ouverture plus vaste du débat et de la réerions sur la politique étrangère de Macron. C’est ainsi qu’on remarque que le Président Français Emmanuel Macron estime que la résolution de la crise permanente au Proche-Orient serait mieux assurée collectivement, par un rôle important des Nations unies et le dialogue entre les cultures, plutôt que par la guerre préventive ou par l’unilatéralisme d’un « choc des civilisations ». Cela revient à dire que la politique étrangère française au Proche-Orient sous Macron devra donc fixer une ligne directrice à ces réactions, un sens à l’ensemble de son action. La France est souvent butée à la difficulté de politique intérieure qui impacte sur sa politique étrangère : la recherche des stratégies pour contenter l’opinion musulmane qui devient de plus en plus importante en France et la quête de l’affirmation des valeurs françaises deviennent des pesanteurs. Cela impacte beaucoup sur ses choix au Proche-Orient où elle est souvent accusée d’entretenir un agenda « pro-arabe ». Pourtant, elle est aussi étirée par la défense de la question juive au regard des valeurs auxquelles elle croit en tant qu’une nation de traditions judéo-chrétiennes bien qu’elle soit un Etat laïc. Donc le conflit des choix impacterait beaucoup sur l’efficacité de la politique étrangère française au Proche-Orient. Pour bien expliquer, notre travail nous préférons la méthode géopolitique de la technique documentaire enfin le réalisme comme théorie. Pour ce faire, nous avons subdivisé notre travail en quatre points, le premier point porte sur les généralités, le second point détermine la présentation du cadres d’étude, le troisième point analyse comment comprendre le Proche-Orient, en fin le chapitre quatrième détermine la politique étrangère de la France au Proche-Orient sous Macon. En termes de résultat C’est particulièrement vrai au Proche-Orient, où la France, puissance moyenne, conserve une grande influence. Le fond et la forme vont probablement se rejoindre pour donner un aperçu de ce qui pourrait constituer une «doctrine Macroniste». Du Maghreb au Levant et au Golfe, le président a déjà fortement insisté sur une priorité : l’antiterrorisme. Dans ce contexte, il emploie sans hésitation, comme ses collaborateurs, l’expression « extrémisme islamiste », et met l’accent sur les progrès à accomplir en matière de sécurité. Dans son approche de la région, Macron privilégie la stabilité, fondée toutefois sur des solutions politiques inclusives. Vues sous cet angle, ses positions n’ont rien d’original.


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