Ce contenu est entièrement accessible après abonnement à la bibliothèque

GESTION DES CAPITAUX PROPRES ET L’AUTOFINANCEMENT D’UNE ENTREPRISE CAS DE LA SOCIETE VITEL

Par GARPHE EBAMBI EBAMBI • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueEconomie • TFC • 2021-12-16 • 234 vue(s)

Nous voici au terme de notre travail scientifique qui porte sur la gestion des capitaux propres et l’autofinancement d’une e entreprise. Cas de la société vitel. C’est des raisons pragmatiques ou empiriques que notre choix était porté sur l’entreprise société vitel comme notre champ d’investigation. Après avoir parcouru la revue de littérature en cherchant les différentes études théoriques et empirique notre question de recherche été formuer en ces termes : Pourquoi les capitaux propres de la société vitel ne lui permettent pas de s’autofinancer ? L’hypothèse retenue était que les capitaux propres de la société vitel ne lui permet pas de s’autofinancer à cause des certains facteurs qui sont endogènes et exogènes. Les facteurs qui expliqueraient l’incapacité des capitaux propres sur l’autofinancement de la société vitel seraient : la réalisation de perte, la présence d’une trésorerie négative la diminution di fonds de roulement , l’augmentation du besoin en fonds e roulement Et la diminution du chiffre d’affaires Pour vérifier cette hypothèse, nous avons recouru à l’approche quantitative avec les entretiens semi directives et la recherche documentaire pour récolter les données. L’analyse statistiques et le model de régression avec le logiciel GRETL nous ont aidé à analyser les données. Les résultats de cette étude montrent que certains facteurs qui sont à la base d’un bon comportement des indicateurs financiers significatifs de la société ne résultent pas uniquement d’un défaut d’allocation de facteurs de production mais de l’efficacité x selon la théorie développée par LEIBENSTIN ; 1978. La situation financière de la société vitel est bonne car elle est en mesure de financer un surcroit de dépenses sans recourir aux engagements extérieurs, ce phénomène pousse l’entreprise commerciale dégage une rentabilité de 0,28% pour un chiffre d’affaires de 5.264.897.395 pour l’année 2016, 1,23% de rentabilité pour un chiffre d’affaires de 2.801.297.327 pour l’année 2017, 13,26% de la rentabilité pour un chiffre d’affaire de 4.882.019.669 pour l’année 2018 et 37% de la rentabilité pour le chiffre d’affaires 10.887.129.994, l’année 2019 le montant est de -654 231 443 324 Néanmoins cette étude présente quelques limites qui ouvrent les perspectives dans le futur : - Du point de vue méthodologique, cette étude se limite à l’approche quantitative avec les entretiens semi directifs et la recherche documentaire. Nous pensons que d’autres recherches plus approfondies peuvent enrichir nos résultats avec une approche qualitative en faisant les études longitudinales. - Du point de vue théorique, cette étude s’est inspirée à la théorie contextualiste et la théorie de contingence, elle peut être complétée par la théorie de jeu d’acteur pour comprendre les interactions entre les différentes parties prenantes. - Du point de vue de l’analyse, cette étude a utilisé l’analyse statistique et la logiciel GRETL et d’autres chercheurs peuvent l’enrichir en utilisant la chaîne de valeur portée pour la performance des autres entreprises minières. En effet nous présentons les perspectives de recherches futures de la manière ci-après : • Pourquoi la trésorerie n’est pas capable de rembourser les dettes à court terme dans une entreprise commerciale ? • Comment se comporte les indicateurs de performance de la société vitel ? • Quel est le rôle des indicateurs financiers principaux sur la solvabilité de l’entreprise commerciale vitel?


Autres Détails


Créer un compte ou Connectez-vous   pour obtenir le contenu

Partager

Commentaires (0)

Créer un compte ou Connectez-vous   pour commenter

Aucun commentaire pour l'instant

Contenus relatifs