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l’assurance incendie et son apport dans la maximisation des recettes dans une sociétés d’assurance. Cas de la SONAS

Par KITENGE DEBORAH VANESSA • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueEconomie • TFC • 2021-12-16 • 558 vue(s)

Nous sommes à la fin de notre étude qui porte sur : « l’assurance incendie et son apport dans la maximisation des recettes dans une sociétés d’assurance. Cas de la SONAS. Pour entreprendre cette étude nous sommes partis de l’observation selon laquelle l’assurance incendie n’est pas totalement recouvrée par la sonas et cela ne lui permet de maximiser les recettes de l’assurance incendie. Après avoir parcouru la revue de littérature en cherchant les différentes explications théoriques et empiriques, notre question de départ était formulée en ces termes : Pourquoi la sonas ne maximise pas les recettes de l’assurance incendie ? Pour soutenir le phénomène observé notre question de recherche est celle de savoir : quels sont les facteurs qui ne permettent pas à la sonas de maximiser les recettes de l’assurance incendie ? L’hypothèse retenue était que les facteurs qui ne permettaient pas à la sonas de maximiser les recettes de l’assurance incendie seraient : le non-respect du délai de contrat d’assurance incendie, l’augmentation des sinistres à indemniser au court d’une période et faible recettes de l’assurance incendie, la mauvaise gestion des ressources financières à la sonas, l’augmentation des incendies dans le secteur commercial et la lâcheté des opérateurs économiques dans la gestion de leur bien après avoir assuré leurs biens. Pour arriver à déterminer les résultats nous avons recouru à l’approche qualitative avec les entretiens semi directif et la recherche documentaire, l’analyse des contenus thématique et le diagramme D’ishikawa nous ont permis à analyser les données. Les Résultats montrent que les facteurs qui expliquent l’inefficacité dans la maximisation des recettes de l’assurance incendie a la SOANAS ne résulte pas uniquement d’un défaut d’allocation des facteurs de production mais de l’inefficience est incertaine selon la théorie développé par Leinbenstein (1978), ces facteurs sont classés d’une manière interne et externe qui sont : le non-respect du délai de contrat d’assurance incendie 10,5%, l’augmentation des sinistres a indemnisés au court d’une période 13,15%, faible recettes de l’assurance incendie 13,15%, la mauvaise gestion des ressources financières a la sonas 13,15%, la lâcheté des opérateurs économiques dans la gestion de leur bien après avoir assuré leurs biens. 13,15%, l’augmentation des incendies dans le secteur commerciale 15,9%, et la décision politique 21%. Ces Résultats confirment nos Hypothèses. Néanmoins cette étude présente quelques limites qui ouvrent les perspectives dans les futures : - Du point de vue méthodologique, cette étude se limite à l’approche qualitative avec les entretiens et la recherche documentaire. Nous pensons que d’autres recherches plus approfondies peuvent enrichir nos résultats en faisant les études longitudinales ; - Du point de vue théorique, cette étude s’est inspirée à la théorie du marché des assurances, la théorie d’échange, la théorie du contrat d’assurance et la théorie d’étroitesse considérable de marché d’assurance. Elle peut être complétée par la théorie de jeu d’acteur pour comprendre les interactions entre les différentes parties prenantes ; - Du point de vue de l’analyse, cette étude a utilisé la technique SWOT et la matrice PHESTEL et d’autres chercheurs peuvent l’enrichir en utilisant la chaine de valeurs de porter pour les causes de l’inefficacité des recettes de l’assurance incendie a la sonas.


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