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l’impôt sur les revenus locatifs et maximisation des recettes fiscales. Cas de la DRHKAT.

Par ILUNGA NKULU JULIE • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueEconomie • TFC • 2021-12-16 • 211 vue(s)

Nous voici aux termes de notre travail scientifique qui porte sur l’impôt sur les revenus locatifs et maximisation des recettes fiscales. Cas de la DRHKAT. Nous avons observé la croissance démographique qui se justifie par la naissance de nouveaux quartiers qui élargissent la ville et même la province. La construction des maisons presque partout qui sont en location ; l’augmentation des maisons en location dans toute la ville de Lubumbashi. L’inefficacité dans la fixation des prévisions des recettes de l’impôt sur les revenus locatifs à la DRHKAT c’est-à-dire les prévisions de l’IRL sont toujours inférieures aux réalisations, ce qui explique le manque de maximisation des recettes de l’impôt sur les revenus locatifs. En effet, notre question de départ était formulée en ces termes : Pourquoi certains bailleurs ne payent pas l’impôt sur les revenus locatifs dans la ville de Lubumbashi ? Après avoir parcouru la revue de littérature, en cherchant les différentes études théoriques et empiriques notre question de recherche était formulée de la manière suivante : Quels sont les facteurs qui expliquent la non-maximisation des recettes fiscales de l’impôt sur les revenus locatifs à la DRHKAT ? Les hypothèses retenues étaient que les facteurs qui expliquent la non maximisation des recettes fiscales de l’impôt sur les revenus locatifs à la DRHKAT seraient d’ordre contextuel et contingent c’est-à-dire ces facteurs endogènes et exogènes, il s’agit de : l’incivisme fiscal ; le détournement des fonds publics ; le faible salaire des agents ; la présence des agents fictifs et non mécanisés à la DRHKAT ; le phénomène intouchable et la décision politique qui influence la décision de gestion de la DRHKAT. Ainsi pour vérifier ces hypothèses, nous avons recouru à l’approche mixte, méthode quantitative et méthode qualitative ainsi qu’aux techniques d’entretien, d’observation directe et documentaire nous ont servi dans la collecte et d’analyse des données. Pour ce faire nous avons focalisé notre étude sur les impôts perçus dans la province du Haut-Katanga, précisément l’impôt sur les revenus locatifs.


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