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la Gestion de la trésorerie et solvabilité d’une entreprise ». Cas de la SNEL

Par NTAB BERTINI • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueEntreprise • Mémoire • 2021-12-17 • 420 vue(s)

Nous voici arrivé au terme de notre travail » la Gestion de la trésorerie et solvabilité d’une entreprise ». Cas de la SNEL. Il a eu pour champ d’investigation la Société nationale d’électricité pour une période de 4 ans, soit 2017 à 2020. Pour entreprendre cette étude, nous sommes paris de l’observation selon laquelle la trésorerie de la SNEL est capable de couvrir les dettes à court terme en moyenne 2,43% seulement soit un montant de 24.286.530.540 CDF. Elle montre une incapacité de 97,57% soit un montant de 32.531.414.800 CDF pour faire face à ses exigibles à court terme. Après avoir parcouru la revue de littérature en cherchant les différentes explications théoriques et empiriques, notre question de départ était formulée en ces termes : pourquoi la trésorerie de la SNEL n’est pas capable de faire face aux engagements en court terme ? Cette question de départ était complétée par une question de recherche formuler de ma manière suivante : Quels sont les facteurs endogènes et exogènes expliquant l’incapacité de la trésorerie de la SNEL face au remboursement des dettes à court terme ? L’hypothèses était que Facteurs endogènes et exogènes qui expliqueraient l’incapacité de la trésorerie de la SNEL face aux remboursement de ses exigibles à court terme seraient d’ordre contextuel et contingent c’est-à-dire ces facteurs seraient endogènes et exogènes, parmi lesquels nous avons : le poids de charge à la SNEL, le tribalisme, la fraude, le délestage exagéré dans toutes les communes de la ville de Lubumbashi, l’insuffisance des cabines électriques, le pot de vin des agents de recouvrement a la SNEL, le non identification des nouveaux quartiers qui ont besoin du courant électrique, la décision politique qui est juxtaposés à la décision de gestion des entreprises de l’état, la mauvaise gestion des ressources financières de la SNEL, phénomène intouchable, la situation politique. Quant aux techniques utilisées, celle dite documentaire, elle nous a été importante dans la mesure où elle nous a permis de consulter les documents cadrant avec notre sujet : ouvrages, syllabus, dictionnaires, travaux de nos prédécesseurs ainsi que certaines notes des cours et divers sites internet. Et enfin celle dite d’interview, elle nous a aidé dans la mesure où elle nous a permis d’entrer en contact avec les personnels de la SNEL envie d’acquérir les données. Cette étude vise à porter des détails sur la capacité de la trésorerie dans la prise de décisions financières et identifier les maux qui rongent la SNEL et à proposer les solutions adéquates pour avoir les ressources financières adéquates qui permettront aux entreprises publiques que privées à faire face à leur exigible à court terme. Le travail est subdivisé en trois chapitre en dehors de l’introduction générale et la conclusion générale, le premier porte sur le cadre conceptuel et théorique ; le second parle de la présentation du champ empirique et le troisième chapitre a mis au points sur les résultats de l’étude. Après analyse et traitement des données à travers les logiciels GRETL, les Résultats montrent que la SNEL présente une mauvaise posture financière qui ne permet de payer ses dettes par le fait que la règle de l’orthodoxie financière ou principe sain de gestion n’est pas respectée en dépit de quelques indicateurs qui sont bons. Ce qui nous amène à infirmer notre hypothèse qui était que la santé financière de la SNEL serait bonne et capable de faire face à ses exigibles a court. Pour y parvenir, nous avons fait appel aux méthodes et techniques suivantes : La méthode quantitative qui nous a permis de collecter les données numériques et les analysées à travers les méthodes fondées sur les techniques mathématiques, statistiques ou informatiques. Ce travail n’a pas abordé tous les aspects liés à notre question de recherche et laisse aussi le champ ouvert à des études ultérieures et sur le plan empirique, cette étude se base sur la société nationale d’électricité. Ainsi, nous disons que ce travail est une œuvre humaine qui peut encore contenir des coquilles, c’est pourquoi nous assumons l’entière responsabilité sur les imperfections qui résisteraient à notre regard.


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