la gestion des stocks et son impact sur la trésorerie

Nous voici arrivé au terme de notre travail » la Problématique de la gestion des stocks et son impact sur la trésorerie » il a eu pour champ d’investigation la Générale des Carrières et des Mines pour une période de 4 ans, soit 2016-2019. Tout au long de ce travail, li a été question de savoir si : Les facteurs qui expliquent la faiblesse de la gestion des stocks sur la trésorerie de la SNCC ? Après analyse et traitement des données à travers les logiciels GRETL, il ressort que la SNCC présente une mauvaise posture financière qui ne permet de payer ses dettes par le fait que la trésorerie de la SNCC est négative. Les facteurs qui expliqueraient la faiblesse de la gestion des stocks sur la trésorerie de la SNCC seraient d’ordre contextuel et contingent. C’est-à-dire ces facteurs sont endogènes et exogènes. Il s’agit de : Le poids de charges non décaissables, Le tribalisme, La fraude, La réalisation des pertes, L’absence des résultats non distribués, Le manque des matériels de production efficace, L’obsolescence des matériels, Le nombre croissant des agents de la SNCC, La mauvaise gestion des ressources financières de la SNCC Phénomène intouchable, La situation politique. Pour y parvenir, nous avons fait appel aux méthodes et techniques suivantes : La méthode quantitative qui nous a permis de collecter les données numériques et les analysées à travers les méthodes fondées sur les techniques mathématiques, statistiques ou informatiques. Quant aux techniques utilisées, celle dite documentaire, elle nous a été importante dans la mesure où elle nous a permis de consulter les documents cadrant avec notre sujet : ouvrages, syllabus, dictionnaires, travaux de nos prédécesseurs ainsi que certaines notes des cours et divers sites internet. Et enfin celle dite d’interview, elle nous a aidé dans la mesure où elle nous a permis d’entrer en contact avec les personnels de la SNCC envie d’acquérir les données Ce travail n’a pas abordé tous les aspects liés à notre question de recherche et laisse aussi le champ ouvert à des études ultérieures et sur le plan empirique, cette étude se base sur la société nationale des chemins de fer au Congo. Ainsi, nous disons que ce travail est une œuvre humaine qui peut encore contenir des coquilles, c’est pourquoi nous assumons l’entière responsabilité sur les imperfections qui résisteraient à notre regard

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