la gestion du cycle d’exploitation et la performance dans une entreprise industrielle cas de la Gécamine

CONCLUSION GENERALE Notre recherche a portée sur la gestion du cycle d’exploitation et la performance dans une entreprise industrielle (Gécamines). La raison de cette recherche est partie de l’observation selon laquelle de 2014 à 2016, la Gécamines ne renouvelais pas ses outils de production, certaines des usines de productions sont abandonnés et sa trésorerie est toujours négative, à l’exception de l’année 2017 ou la Gécamines a renouvelé ses outils de production de l’usine de Kambove et elle a réalisé une trésorerie positive. Au départ, notre question est de savoir : « quels sont les facteurs qui expliquent l’existence du besoin en fonds de roulement négatif à la Gécamines ? ». Pour répondre à cette question, nous avons recouru à la revue de littérature qui nous a permis de relever les facteurs clé de la trésorerie. Cela nous a conduit de formuler notre question de recherche de la façon suivante : « quelles sont les facteurs autres que le besoin en fonds déroulement qui expliquent la mauvaise gestion de la trésorerie à la Gécamines S.A ? ». Face à cette question, nous avons émis deux facteurs qui expliquent notre hypothèse : facteurs endogènes (non renouvellement des outils de production, non-paiement des certains client, diminution de la production et fonds déroulement insuffisant) et facteurs exogènes (l’intervention de l’Etat dans la gestion de la société, l’instabilité de taux de change et la forte concurrence sur le marché ? Nous avons utilisé la démarche ou la méthode quantitative et puits qualitative pour la récolte des données à partir de l’entretien avec les personnels de la Gécamines et la recherche documentaire. Pour analyser nos données, nous avons recouru au diagramme d’ISHIKAWA. Les résultats prouvent que les facteurs qui expliquent la mauvaise gestion de la trésorerie à la Gécamines S.A sont : la matière 14,2 %, matériel 10,3%, la méthode 6,6%, la main d’œuvre 4,7, le moyen financier 23,3% et le milieu 38%. Ce résultat nous pousse à affirmer nos hypothèses. Les solutions que nous proposons sont : Nous demandons au dirigeant d’augmenter les fonds déroulement qui va permettre à la trésorerie d’avoir de liquide qui pourra l’aider à faire face au surcroit des dépense sans faire recourt aux emprunts. De renouveler ses outils des travails qui vont réduire la durée de cycle d’exploitation et faire face à la concurrence sur le marché. De négocier la durée de paiement fournisseur en ajoutant quelques mois de surplus et aux clients de réduire la durée de paiement à trois mois. Nous ne prétendons pas avoir produit une œuvre parfaite, notre texte pourra présenter quelque faille de fond et de forme. Notre souhait est que l’autres chercheurs intéressent à la question que nous venons de soulever viennent compléter et ou approfondir notre étude

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