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les lushois face à la campagne de lutte contre le VIH/Sida, cas de l’hôpital Jason Sendwe

Par MUZENGU JOSUE • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueMedecine • TFC • 2021-12-21 • 222 vue(s)

CONCLUSION GENERALE Nous voici à l’atterrissage de notre investigation scientifique qui a porté sur « les lushois face à la campagne de lutte contre le VIH/Sida, cas de l’hôpital Jason Sendwe». Pour entreprendre cette étude nous sommes partis de l’observation selon laquelle Dans ce travail, nous observons que l’ONUSIDA n’a pas encore atteint son objectif qui est celui de zéro nouvelle infection à VIH, zéro décès lié au Sida et zéro discrimination. La maladie ne cesse au grand désarroi de l’humanité de faire de ravage et d’endeuiller les familles. En élaborant ce travail, il a été question de répondre à la problématique articulé autour de la question ci-après : Pourquoi les campagnes de sensibilisation de VIH/Sida à travers les médias n’atteignent-elles pas véritablement le cible ? Pour bien mener les recherches, nous avons recouru à la méthode qualitative avec les entretiens semi directifs et la recherche documentaire en utilisant le diagramme d’Ishikawa et le diagramme de conditionnalité pour analyser les données. Aux termes de notre investigation, nous pouvons dire qu’effectivement, que les facteurs qui influençent faiblesse de la campagne publicitaire du VIH/SIDA dans la lutte au sein de la population lushoise sont : Le manque de sensibilisation efficace , la faiblesse dans l’adoption d’un comportement favorisant l’éducation de risque d’infection, le manque de conscientisation de l’existence du Sida à la population lushoise, le manque des films à diffusion occasionnelle et les publicités des préservatifs, les préjugés de la population, la culture de la population. L’insuffisance des moyens dans l’élaboration du budget publicitaire, le phénomène intouchable, le manque de sensibilisation efficace, la faiblesse dans l’adoption d’un comportement favorisant l’éducation de risque d’infection Ainsi, le présent travail est subdivisé en quatre chapitres hormis l’introduction générale, la discussion et la conclusion générale. Aux termes de ce travail, les analyses faites montrent que durant la période de notre observation, l’ONUSIDA n’a pas encore atteint son objectif qui est celui de zéro nouvelle infection à VIH, zéro décès lié au Sida et zéro discrimination. La maladie ne cesse au grand désarroi de l’humanité de faire de ravage et d’endeuiller les familles Et les facteurs qui influence cette faiblesse de la campagne publicitaire dans la lutte contre le VIH/SIDA sont d’ordre contextuel et contingent, ces facteurs sont endogenes et exogenes il s’agit de Le manque de sensibilisation efficace , la faiblesse dans l’adoption d’un comportement favorisant l’éducation de risque d’infection, le manque de conscientisation de l’existence du Sida à la population lushoise, le manque des films à diffusion occasionnelle et les publicités des préservatifs, les préjugés de la population, la culture de la population. L’insuffisance des moyens dans l’élaboration du budget publicitaire, le phénomène intouchable, le manque de sensibilisation efficace, la faiblesse dans l’adoption d’un comportement favorisant l’éducation de risque d’infection Ce résultat confirme nos hypothèses. Néanmoins, nous n’avons pas l’esprit d’apparaitre séduisante après cette analyse, d’avoir épuisé les détails sur le problème posé mis nous croyons néanmoins avoir ouvert un petit chemin aux chercheurs de nous porter correction en approfondissant cette recherche par leur capacité. Cette étude étant un travail humain, n’est pas parfait. Il convient de se rappeler de la parole de Jésus Christ disant : celui qui est sans péché, jette la première pierre sur cette femme adultère ».


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