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la fraude douanière et la maximisation des recettes de l’Etat ». Cas de la DGDA/Haut-Katanga.

Par NGOIE KISULA • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueFiscalité • Mémoire • 2021-12-28 • 256 vue(s)

Cette étude est intitulée « la fraude douanière et la maximisation des recettes de l’Etat ». Cas de la DGDA/Haut-Katanga. Pour entreprendre cette étude, nous sommes parti de l’observation selon laquelle la fraude fiscale règne en maître au sein de la DGDA et le brigade chargé de la sécurité a une très grande difficulté dans l’accomplissement de ses tâches. Cela pousse la DGDA à ne pas atteindre ses objectifs en termes des recettes. C’est-à-dire les assignations ne sont pas égales à la réalisation durant la période de notre observation soit de 2017 à 2020. Et nous nous sommes posé la question de savoir : pourquoi la DGDA n’arrive pas à enrayer la fraude fiscale étant donné que tous les mécanismes sont effectifs ? Après avoir parcouru la revue de littérature, en cherchant des différentes explications théoriques et empiriques sur la question et en incluant les approches théoriques qui cadrent avec l’objet de l’étude, notre question de recherche était construite de la manière suivante : Quels sont les facteurs qui ne permettraient pas à la DGDA/Haut-Katanga de mettre fin à la fraude douanière pour faciliter la maximisation des recettes douanières ? L’hypothèse retenue était que les facteurs qui expliquent l’inefficacité des recettes dans la lutte contre la fraude douanières sont d’ordre contextuel et contingent c a d ces facteurs sont endogènes et exogènes il s’agit de le manque de répertoire fiable, le manque des méthodes de contrôle efficaces, le non information de l’impact qu’à la fraude douanière dans la maximisation des recettes de l’Etat, le faible salaire, l’égoïsme de la part des agents de fisc et l’incivisme fiscal, la décision politique qui juxtaposées à la décision de gestion des toutes régies financières et les phénomènes intouchables, et la pauvreté des contribuables. Pour vérifier ces hypothèses, nous avons recouru à l’approche quantitative et l’approche qualitative avec les entretiens semi directifs et la recherche documentaire, l’analyse de contenu et le modèle d’Ishikawa nous ont servi à analyser les données, le résultat de cette étude montre que certaine faiblesse ne pas uniquement d’un défaut d’allocation des facteurs de production mais de l’inefficience x de manager des entreprises publiques et privées selon la théorie développée par LEIBENSTEIN (1978).


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