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la taxe douanière et la maximisation des recettes fiscales. Cas de la DGDA/Katanga

Par LUBAMBU MUJINGA Rachel • Bibliothèque : Bibliothèque PubliqueDouane • TFC • 2021-12-16 • 132 vue(s)

Nous voici arriver à la fin de notre travail qui porte sur la taxe douanière et la maximisation des recettes fiscales. Cas de la DGDA/Katanga. Pour entreprendre cette étude, nous sommes partis de l’observation selon laquelle les taxes collectées à la DGDA/Katanga ne lui permettent de maximiser les recettes douanières. De ce qui précède quelque préoccupation nous vient à l’esprit : Pourquoi les taxes récoltées à la DGDA/Katanga ne contribuent pas dans la maximisation des recettes douanières ? Après avoir parcourue la revue de littérature en cherchant les différentes explications théoriques et empiriques, notre question de recherche était formulée en ces termes : Quels sont les facteurs qui expliquent l’inefficacité des recettes de la taxe douanière à la DGDA/Katanga ? L’hypothèses retenue était que les facteurs endogènes et exogènes qui expliquent l’inefficacité des recettes de la taxe douanière a la DGDA/Katanga seraient d’ordre contextuel et contingent c’est-à-dire ces facteurs sont endogènes et exogènes il s’agit de manque de répertoire fiable, le manque des méthodes de contrôle efficaces, le non information de l’incidence qu’à la fraude douanière dans la maximisation des recettes de l’Etat, le faible salaire, l’égoïsme de la part des agents de fisc et l’incivisme fiscal, la décision politique qui juxtaposées à la décision de gestion des toutes régies financières et les phénomènes intouchables, et la pauvreté des contribuables Pour atteindre notre objectif, nous avons recours à l’approche qualitative avec les entretiens semi directif et la recherche documentaire. Les Résultats trouvés montre que le faible salaire 10%, la condition de travail 16%, la fraude douanière 10%, l’incivisme fiscal 13%, la décision politique 13%, le travail lui-même 22% et le trafic d’influence 16% sont à la base de l’inefficacité des recettes de la taxe douanière a la DGDA/Katanga. Ces Résultats confirment nos Hypothèses. Ainsi Cette étude contient des limites qui ouvrent des perspectives sur les études futures :  Au niveau théorique : dans cette étude nous avons utilisé la théorie contextualiste et la théorie de la contingence, nous pensons que des études plus approfondies peuvent utiliser d’autres aspects des théories.  Au niveau méthodologique : cette étude est basée essentiellement sur l’approche qualitative et documentaire avec la technique d’entretien, les recherches futures peuvent l’approfondir avec un questionnaire d'enquête.  Au niveau empirique : notre étude se limite à la DGDA/Katanga, nous suggérons au futurs chercheur d’élargir le champ empirique au niveau de province, en étudiant par exemple le même problème pour la DGDA/Grand Katanga ; En plus, des questions surgissent à la fin de cette étude qui ouvrent des perspectives de recherche future telles que : - Quels sont les faiblesses qui se pose dans la perception des taxes douanières ? - Quelle est la contribution peut-on attendre de service anti-fraude dans la maximisation des recettes douanières ?


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