CLIMAT ORGANISATIONNEL ET DIVISION DU TRAVAIL CAS DE LA DPI/KATANGA

CONCLUSION GENERALE Notre travail a porté sur le climat organisationnel et la division du travail. Cas de la DPI/Katanga. Pour entreprendre cette étude nous sommes partis de l’observation selon laquelle depuis l’installation de la DPI dans la ville de Lubumbashi, les prévisions des recettes n’ont jamais était égales aux réalisations. Cette situation problématique se manifeste principalement par un climat malsain et tendu, ce qui a pour effet d'engendrer de multiples dysfonctionnements. Comme le précise le mandat de cette intervention des données quantitative récolté a la DPI dont l'objectif premier vise essentiellement à établir un diagnostic organisationnel afin d'identifier les causes de l’inefficacité des recettes par un climat sain. Départ cette observation, notre question de recherche a été formuler en ces termes : « Quels sont les facteurs qui expliquent la présence du climat malsain et la manque de la division du travail à la DPI ? » Pour répondre à cette question nous avons recouru à la revue de littérature en cherchant les différentes études théoriques et empirique L’hypothèse retenue était que le manque de communication, de coordination et de concertation tant à l'intérieur de ses structures qu'avec son environnement qui est les contribuables, ainsi que par une inorganisation du travail sur le plan administratif, seraient des éléments qui ne permet pas à la DPI d’avoir un bon climat du travail, les facteurs qui permettent pas à la DPI d’avoir un bon climat organisationnel et la bonne division du travail seraient d’ordre contextualiste et contingent c’est-à-dire ces facteurs seraient endogènes et exogènes. Il s’agit du manque de communication fiable, le manque de concertation tant qu’à l’intérieur avec les contribuables, la mauvaise coordination, le déplacement exagéré des travailleurs de la DPI pendant la période de service, Le manque du respect de l’heure d’arrivé au travail et du l’heure de sortie, l’inefficacité des recettes qui se traduit par la contre-performance, le manque de l’information du rôle de la DPI sur le territoire national, les décisions politique qui influence les décisions des régies financières et la pauvreté des contribuables. Ainsi pour vérifier ces hypothèses, nous avons recouru à l’approche qualitative avec les entretiens semi-directifs et la recherche documentaire pour récolter les données, la cartographie, le digramme d’Ishikawa et l’analyse avec le logiciel Tropes nous ont aidés à analyser les données. Les Résultats de cette étude montre que les facteurs qui expliquent la présence du climat malsain et la manque de la division du travail à la DPI sont le communication fiable, le manque de concertation tant qu’à l’intérieur avec les contribuables, la mauvaise coordination, le déplacement exagéré des travailleurs de la DPI pendant la période de service, Le manque du respect de l’heure d’arrivé au travail et du l’heure de sortie, l’inefficacité des recettes qui se traduit par la contre-performance, le manque de l’information du rôle de la DPI sur le territoire national, les décisions politique qui influence les décisions des régies financières et la pauvreté des contribuables.. Ces résultats confirment nos hypothèses Néanmoins cette étude présente quelques limites qui ouvrent les perspectives dans le futur : - Du point de vue méthodologique, cette étude se limite à l’approche qualitative avec les entretiens semi directifs et la recherche documentaire. Nous pensons que d’autres recherches plus approfondies peuvent enrichir nos résultats avec une approche quantitative en faisant les études longitudinales. - Du point de vue théorique, cette étude s’est inspirée à la théorie contextualiste et la théorie de contingence, elle peut être complétée par la théorie de jeu d’acteur pour comprendre les interactions entre les différentes parties prenantes. - Du point de vue de l’analyse, cette étude a utilisé l’analyse de contenue et la logiciel TROPES et d’autres chercheurs peuvent l’enrichir en utilisant la chaîne de valeur portée pour les un climat de travail sain et une bonne division du travail. En effet nous présentons les perspectives de recherches futures de la manière ci-après : • Pourquoi les administrations publiques ne tiennent pas compte des formations dans la gestion de leurs ressources humaines ? • Comment se comporte les agents dans les organisations publiques face au climat du travail? • Quel sont les facteurs qui expliquent le climat malsain des régies financières ?

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