Ce contenu est entièrement accessible après abonnement à la bibliothèque

Chaire Dynamique Sociale dans l’organisation des grandes conférences académiques

Par François Lombe • Bibliothèque : REVUE M.E.S RIDSAutre Domaine • Article • 2023-05-17 • 164 vue(s)

La cérémonie du vingtième anniversaire de la Chaire Dynamique Sociale (CDS) est pour nous, une occasion à saisir pour traduire non pas seulement ce que ce Centre représente pour la communauté universitaire, en général, mais aussi pour nous-même, en tant que Chef de Travaux et doctorant au Département des Relations Internationales.

En effet, du lot de services dont nous avons été bénéficiaire de la part de la CDS jusqu’ici, nous avons choisi d’en citer trois qui sont restés mémorables dans notre esprit, à savoir : la publication d’un article qui a concouru à notre promotion au grade de Chef de Travaux dans sa revue scientifique Mouvements et Enjeux Sociaux ; la soutenance publique de notre mémoire qui nous a valu le diplôme d’études supérieures dans la salle de conférence de cette institution de recherche et la participation en tant qu’intervenant à une conférence organisée le 02 juillet 2018 au Cercle Elias de la Gombe par la CDS, avec l’appui de l’Ambassade de Belgique en RDC et la KULeuven sur le thème : Les nouvelles formes de coopération internationale et l’implication de nouveaux acteurs : rôle des entreprises privées, de l’économie sociale, de la société civile, des universités et des autorités locales.

Considérant l’importance de cette thématique et surtout l’écho provoqué par la conférence précitée, nous avons levé l’option de revenir sur la substance de notre communication qui a été axée sur La coopération sud-coréenne de développement en RDC : secteurs, structures et stratégies en vue de saluer le génie de la CDS en rapport avec le choix des thèmes d’actualité qui font réfléchir et avancer les débats des sciences sociales en général, et des relations internationales, en particulier. Ainsi grâce et par la CDS, le contenu de notre conférence d’alors va continuer d’atteindre au temps de monde afin que tous et chacun se fassent une idée suffisamment large sur un type de coopération qui profite réellement au développement des pays du Sud.

Les relations internationales sont mondialisées et les Nations Unies comme un centre où s’harmonisent les efforts des nations vers les fins communes, soutiennent les relations amicales et la coopération internationale entre les Etats. C’est dans ce cadre que la République Démocratique du Congo et la République de Corée ont établi leurs relations diplomatiques en 1963 et la coopération structurelle bilatérale fonctionne dans le cadre d’une Convention générale de coopération économique, commerciale, technique, culturelle et scientifique, signée en 1981.

Depuis lors, la République de Corée a apporté un nouveau partenariat, en faveur des efforts au développement de la République Démocratique du Congo aux côtés des acteurs traditionnels occidentaux du nord. Les actions de développement seront déployées sur le terrain par la KOICA, l’Agence coréenne de coopération internationale. Pour bien saisir cette coopération sudcoréenne de développement, notre exposé a subdivisé la matière en quatre axes essentiels : le contexte historique de la coopération, les secteurs prioritaires, les structures officielles de cette coopération et les stratégies pour l’efficacité ou le bon résultat. 

 


Autres Détails

François Lombe
Chef de Travaux, Relations Internationales
Université de Kinshasa


CDS conférences académiques

Créer un compte ou Connectez-vous   pour obtenir le contenu

Partager

Commentaires (0)

Créer un compte ou Connectez-vous   pour commenter

Aucun commentaire pour l'instant

Contenus relatifs